V1, De petites routes en chemins, découvrons la vallée des Princes
CHANTILLY

V1, De petites routes en chemins, découvrons la vallée des Princes

Histoire
Patrimoine
Paysage
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De la ville Princière à la ville Royale et retour.

Description

  1. Prendre la rue des Otages faisant face à la gare, puis traverser l’avenue du Maréchal Joffre afin de poursuivre l’itinéraire sur la droite par la contre-allée bordée d’arbres. Traverser le rond-point par le passage piéton, prendre la large route forestière, à gauche, qui mène au Poteau du Puits puis aller à gauche par la route des Postes jusqu’au rond-point de Diane. Poursuivre à droite par le sentier qui longe la route afin de rejoindre le rond-point des Lions d’où vous pourrez bénéficier d’une vue sur le Château de Chantilly.
  2. Traverser la route départementale et se diriger vers le parking du château. Prendre le passage dans la haie sur la droite juste avant la barrière d’entrée du parking. Aller à gauche puis à droite pour rejoindre la sente qui part à l’angle du mur (à proximité du portail) (GR11) pour longer l’étang et la Maison de Sylvie. Continuer tout droit et, arrivé à la Porte Vaillant, traverser le carrefour pour prendre la rue « Chemin de la Porte du Rond ». traverser le carrefour et prendre en face l’allée des Ormes. Longer l’allée des Ormes, pistes d’entrainement des chevaux de course (jusqu’à 13h). Le chemin est sablonneux par endroits ! Poursuivre jusqu’au cimetière et prendre à gauche, rue de la Croix Verte, vers l’église d’Avilly-Saint-Léonard. (Pour continuer le circuit vers Chantilly, prendre à gauche et sortir du village en allant à droite pour rejoindre Courteuil. Traverser le village tout droit, puis à partir du point 9).
  3. Pour Senlis, devant l’église de Saint Léonard, prendre à droite la rue du Docteur Lucas Championnière pour sortir du village et rejoindre la route d’Avilly-Senlis (route étroite circulante !).
  4. Après le panneau d’entrée dans la ville de Senlis, prendre le premier chemin sur la gauche qui longe les jardins familiaux. Arrivé au carrefour avec la rue prendre à gauche puis poursuivre tout droit, rue du Quémiset, vers la Place Saint Martin.
  5. Continuer tout droit en prenant la rue de la Bretonnerie et à l’intersection avec la rue de la République (très passante !), traverser et aller tout droit sur la rue des jardiniers. Juste après le premier carrefour prendre à gauche le chemin qui part en angle droit. Après avoir emprunter la passerelle monter les escalier vélo à la main et prendre la rue à gauche, impasse sainte Marguerite.
  6. Redescendre du vélo pour prendre la passerelle et continuer tout droit. Prendre la 3ème rue à droite, rue de Meaux. Puis aller à gauche pour rejoindre la rue Bellon. La prendre en allant à gauche.
  7. A l’intersection avec la rue de la République, poursuivre tout droit afin de découvrir le centre historique de Senlis (voir l’office de tourisme de Senlis pour un itinéraire de découverte du centre-ville). Prendre la première rue à gauche puis tout droit et prendre la quatrième rue à droite, rue Vieille de Paris (! attention à la descente !). Rejoindre la place Saint-Martin. Prendre, à droite, l’itinéraire emprunté à l’aller jusqu’à Avilly-Saint-Léonard: rue du Quémiset, sentier vers les jardins familiaux et route d’Avilly, à droite.
  8. Passer le panneau d’entrée du village d’Avilly-Saint-Léonard, prendre la première à droite vers Saint-Nicolas-d’Acy. Traverser la Nonette et prendre à gauche vers Courteuil. Passer l’église et au croisement, au niveau de la place, prendre à droite.
  9. Traverser la route départementale pour poursuivre l’itinéraire sur le chemin à travers les champs. Prendre la première à gauche, avant le pont sous l’ancienne voie ferrée, puis continuer toujours tout droit. Arrivé à la route prendre à gauche, puis de suite à droite pour passer devant l’ancienne gare. A l’arrêt de bus, prendre à droite puis tout de suite à gauche, afin d’emprunter, en sous-bois, la promenade d’Egmont derrière la barrière (avant la fin de la promenade d’Egmont, il est possible de faire un aller-retour sur la gauche afin de bénéficier d’une vue remarquable sur le Château de Chantilly).
  10. De retour sur l’itinéraire, la promenade d’Egmont débouche sur une route, avenue de la Gare. Prendre à gauche et de suite à droite devant l’ancienne petite gare et continuer sur la rue Jeanne d’Arc, aller à gauche sur place de la plaine à Mahieux puis rue Poissonnière, 2ème à droite rue de la République. Aller à gauche sur la place Joyale puis à droite rue de Saint Leu. Arrivé place Charollais, prendre la 2ème rue à droite en montant, rue de Saint Leu. Continuer sur la rue Saint Leu (à gauche) puis poursuivre par le chemin derrière la barrière, direction Chantilly.
  11. Arrivé à la Porte de Saint Leu, traverser la route départementale et continuer en descendant par l’allée arborée. Descendre la rue revêtue jusqu’à traverser le Grand Canal et poursuivre votre chemin jusqu’au Pavillon de Manse (sur la droite). Prendre la rue des Cascades en allant à gauche puis prendre la 1ére rue à droite, avenue de Condé.
  12. Poursuivre tout droit, au feu, et au bout de l’avenue de Condé, aller en face sur l’espace enherbé. Prendre le sentier revêtu qui traverse la pelouse puis le bois Bourillon. Rejoindre l’avenue du Maréchal Joffre en allant à gauche sur la contre-allée puis reprendre la rue des Otages pour retrouver la gare de Chantilly.
  • Départ : Gare de Chantilly
  • Arrivée : Gare de Chantilly
  • Communes traversées : CHANTILLY, AVILLY-SAINT-LEONARD, SENLIS, COURTEUIL et VINEUIL-SAINT-FIRMIN

Transport

TER Hauts de France de la Gare du nord, Paris

Accès routiers et parkings

Stationnement :

Parking de l'hippodrome Chantilly

Les 11 patrimoines à découvrir

  • Histoire

    statue de Diane

    En 1885, une première statue de Diane, appelée «Diane à la Biche» est commandée par le duc d’Aumale, dernier propriétaire du château. Elle est en fonte et est haute de 2 mètres. En avril 1989, la statue est volée alors qu’elle est en cours de restauration, . Le piedestal de la statue reste vide pendant 23 ans jusqu’à ce que l’Institut de France, la mairie de Chantilly, l’Office de Tourisme, France Galop et d’autres organismes s’associent pour faire réaliser une nouvelle statue à l’identique. En 2012, le jour du Prix de Diane, l’un des plus grands prix courus à Chantilly, la statue retrouve son piedestal !
  • Histoire

    Chapelle de la mère Mary

    Anne de Montmorency, connétable de France né à Chantilly et ami de François 1er, fait le pèlerinage des sept basiliques de Rome pour gagner les indulgences qui y sont attachées. Pour faire bénéficier son entourage des mêmes indulgences sans se déplacer, il fait construire à Chantilly sept chapelles de 1532 à 1538. Sur les sept chapelles seules trois existent toujours, dont la chapelle Sainte Croix en Jérusalem. Elle a servi de lieu d'habitation à la famille Mary au 19ème siècle. Et a gardé ce nom en mémoire de la mère de famille qui servait de nourrice pour les enfants cantiliens. L'obélisque érigé à côté et surmonté autrefois d'une croix, commémore le souvenir des prisonniers victimes de la terreur révolutionnaire dont les corps ont été ensevelis provisoirement à cet endroit.
  • Patrimoine domestique

    Glacière de Chantilly

    Parmi tous les éléments de patrimoine recensés sur le territoire du Parc, il en est un particulièrement peu courant : les glacières. 19 ont été recensées, à proximité de grands édifices (châteaux, abbayes), dans des états plus ou moins bons.

    Depuis des siècles, et à proximité de Paris, de nombreux personnages de pouvoir (politique, militaire, religieux, économique, juridique), se sont fait construire de grandes demeures. Leur rang et leur richesse les obligeaient à un entourage nombreux et à un style de vie fastueux. Pour pouvoir conserver  la nourriture en été et servir des mets appréciés au dessert ces glacières à demi enterrées ont été construites à partir du 18ème siècle. On y entassait la glace récoltée en hiver ce qui assurait du froid en été.

  • Histoire

    Jardins familiaux

    Les jardins familiaux, ou jardins ouvriers, apparus à la fin du 19ème siècle, sont des parcelles de terrain mises à la disposition des habitants par les municipalités. Ces parcelles, affectées le plus souvent à la culture potagère, furent initialement destinées à améliorer les conditions de vie des ouvriers en leur procurant un équilibre social et une autosubsistance alimentaire.
    « Les jardins ouvriers professent une vocation sociale et défendent un certain ordre social : s'ils permettent aux ouvriers d'échapper à leur taudis en profitant d'un air plus respirable, ils les éloignent aussi des cabarets et encouragent les activités familiales au sein de ces espaces verts. »  Abbé Lemire, fondateur des jardins ouvriers dans le département du Nord.
  • Autour de l'eau

    La rivière Nonette

    La Nonette est une rivière de 40,2 km de long, elle prend sa source à Nanteuil-le-Haudouin, s’écoule de l’est vers l’ouest et se jette dans l’Oise à Gouvieux, à 30 m d’altitude après avoir traversé Senlis et Chantilly. Ses deux principaux affluents sont l’Aunette au nord et la Launette au sud qui dessert les étangs de l’abbaye de Chaalis. Dès le 10e siècle, le lit de la Nonette a été détourné, en particulier pour l’utilisation de la force hydraulique à des fins artisanales puis industrielles : minoteries, filatures, teintureries, ferronneries, scieries... mais aussi pour l’aménagement et la décoration des parcs et jardins des grands domaines qui bordent son cours : fontaines, canaux, jets d’eau, cascades, miroirs d’eau… sans parler des lavoirs qui agrémentent, aujourd’hui encore, les villages. La Nonette est aussi source de biodiversité. Les milieux humides qui la bordent, sols inondés ou saturés d’eau, sont de véritables filtres naturels et constituent un habitat très recherché par une multitude d’espèces animales et végétales.
  • Patrimoine

    Ancienne abbaye Saint-Vincent

    Cette abbaye est fondée en 1065 par la reine Anne de Kiev. En 1138, elle est rattachée à Saint-Victor de Paris. Devant la dérive des mœurs des moines, elle devient le lieu où débute la réforme des génovéfains, qui permet le retour à des règles monastiques plus sévères, en 1622. En 1791, l'abbaye est supprimée avec l'ensemble des établissements religieux de Senlis et, depuis 1837, elle abrite un lycée privé. L'église abbatiale date de 1138, et le grand et massif bâtiment conventuel autour du cloître, est édifié pendant les années 1660.
  • Histoire

    Une rue changeante

    La traversée rectiligne de Senlis a été créée par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Jean-Rodolphe Perronet pour faciliter le passage des malles postes. Son nom raconte l'histoire de France. Elle s'appelle rue Royale en 1753, de la République en 1794, Impériale en 1804, Neuve de Paris en 1814, de la République en 1879 et avenue du Maréchal Foch vers 1920 pour la partie au nord.  (D'après Jean-Marc POPINEAU, vice-président de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis)
  • Patrimoine

    Hôtel de Ville

    La commune a construit un premier hôtel de ville à la fin du 12ème siècle qui sera reconstruit en 1495 tel que nous l'avons sous les yeux. Sur la façade trône le buste d'Henri IV, en souvenir de la nuit qu'il passa à Senlis avant son couronnement à Paris.

  • Histoire

    Prieuré de Saint Nicolas d'Acy

    Ce prieuré a été fondé en 1098 par Robert Vidame de Senlis, baron de Survilliers, qui a l'autorisation d'établir sur sa terre d'Acy des religieux venus de Saint-Martin-des-Champs à Paris. Ce monastère dépend de celui de Saint-Martin-des-Champs et accueille neuf moines y compris le prieur.
    En ce lieu toute justice peut s’exercer; on rapporte des archives une des sentences contre des animaux pratiqués parfois pendant le moyen-âge. Le bailli de Saint-Nicolas condamna, le 27 mars 1567, une truie ayant le museau noir, à être pendue par l'exécuteur de la justice en un arbre sur le grand chemin allant de Saint-Firmin à Senlis pour avoir dévoré un enfant de quatre mois.
    Le dernier prieur, Don Bergeron, termina sa carrière par une protestation contre quelques religieux qui avaient envoyé à l'assemblée constituante un acte d'abandon de tous les biens de Saint-Nicolas, ce qui signa la fin du prieuré. L’église et les bâtiments ont été démolis. Il ne reste que la terrasse qui domine la Nonette, éloignant l’ancien monastère des inondations fréquentes de la rivière.
  • Patrimoine industriel

    Ancienne gare de Vineuil

    La ligne de Chantilly - Gouvieux à Crépy-en-Valois est une ligne ferroviaire française, d'une longueur de 35,1 kilomètres, qui reliait Chantilly à Crépy-en-Valois. Elle est ouverte de 1862 à 1870 par la Compagnie des chemins de fer du Nord. Cette ligne comporte une voie à réaliser en trois ans, à ses risques et périls. Les travaux débutent en avril 1861 et sont de faible ampleur : des terrassements sur sols d'argiles et de sables, quelques ponts et l'édification d'une gare à Senlis. L'inauguration a lieu en été 1862. Quatre services quotidiens assurent une liaison avec Paris-Nord en une heure vingt minutes. La gare de Senlis est icendiée en 1914 et reconstruite sous la direction de l'architecte de la compagnie qui applique un style néo-Renaissance d'inspiration anglo-normande.
    Comme de nombreuses lignes secondaires, elle est fermée au trafic de voyageurs en 1950, puis déferrée de Chantilly à Senlis.
  • Autour de l'eau

    La rivière Nonette

    La Nonette est une rivière de 40,2 km de long, elle prend sa source à Nanteuil-le-Haudouin, s’écoule de l’est vers l’ouest et se jette dans l’Oise à Gouvieux, à 30 m d’altitude après avoir traversé Senlis et Chantilly. Ses deux principaux affluents sont l’Aunette au nord et la Launette au sud qui dessert les étangs de l’abbaye de Chaalis. Dès le 10e siècle, le lit de la Nonette a été détourné, en particulier pour l’utilisation de la force hydraulique à des fins artisanales puis industrielles : minoteries, filatures, teintureries, ferronneries, scieries... mais aussi pour l’aménagement et la décoration des parcs et jardins des grands domaines qui bordent son cours : fontaines, canaux, jets d’eau, cascades, miroirs d’eau… sans parler des lavoirs qui agrémentent, aujourd’hui encore, les villages. La Nonette est aussi source de biodiversité. Les milieux humides qui la bordent, sols inondés ou saturés d’eau, sont de véritables filtres naturels et constituent un habitat très recherché par une multitude d’espèces animales et végétales.

Météo


Profil altimétrique


Source

Parc naturel régional Oise-Pays de Francehttps://destination.parc-oise-paysdefrance.fr/

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