Liaison V1, Avilly-Senlis
AVILLY-SAINT-LEONARD

Liaison V1, Avilly-Senlis

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Pour rejoindre Senlis et sa cathédrale 

Un aller et retour sur une petite route pour rejoindre Senlis et sa cathédrale  


Description

Devant l’église d’Avilly, prendre à droite la rue du Docteur Lucas Championnière pour sortir du village et rejoindre la route d’Avilly-Senlis ( ! route étroite circulante !).

1. Après le panneau d’entrée dans la ville de Senlis, prendre le premier chemin sur la gauche qui longe les jardins familiaux. Arrivé au carrefour avec la rue prendre à gauche puis poursuivre tout droit, rue du Quémiset, vers la Place Saint Martin.
2. Continuer tout droit en prenant la rue de la Bretonnerie et à l’intersection avec la rue de la République (très passante !), traverser et aller tout droit.
3.  Rue des jardiniers, juste après le premier carrefour prendre le chemin qui part à gauche. Aller tout droit et après avoir empreunter la passerelle monter les escalier vélo à la main. Aller à gauche, impasse sainte Marguerite. Descendre du vélo pour prendre la passerelle et continuer tout droit. Prendre la 3ème rue à droite, rue de Meaux puis aller à gauche. Arrivé à la rue Bellon aller à gauche. A l’intersection avec la rue de la République, poursuivre tout droit afin de découvrir le centre historique de Senlis (voir l’office de tourisme de Senlis pour un itinéraire de découverte du centre ville).
4. Prendre la première rue à gauche puis tout droit et prendre la quatrième rue à droite, rue Vieille de Paris (Danger attention à la descente !). Rejoindre la place Saint-Martin (point 2). Prendre, à droite, l’itinéraire emprunté à l’aller jusqu’à Avilly-Saint-Léonard: rue du Quémiset, sentier vers les jardins familiaux et route d’Avilly.

5. Passer le panneau d’entrée du village d’Avilly-Saint-Léonard, prendre la première à droite vers Saint-Nicolas-d’Acy. Traverser la Nonette et prendre à gauche vers Courteuil. Passer l’église et au croisement, au niveau de la place, prendre à droite.

  • Départ : Senlis
  • Arrivée : Senlis
  • Communes traversées : AVILLY-SAINT-LEONARD, SENLIS et COURTEUIL

Les 6 patrimoines à découvrir

  • Histoire

    Jardins familiaux

    Les jardins familiaux, ou jardins ouvriers, apparus à la fin du 19ème siècle, sont des parcelles de terrain mises à la disposition des habitants par les municipalités. Ces parcelles, affectées le plus souvent à la culture potagère, furent initialement destinées à améliorer les conditions de vie des ouvriers en leur procurant un équilibre social et une autosubsistance alimentaire.
    « Les jardins ouvriers professent une vocation sociale et défendent un certain ordre social : s'ils permettent aux ouvriers d'échapper à leur taudis en profitant d'un air plus respirable, ils les éloignent aussi des cabarets et encouragent les activités familiales au sein de ces espaces verts. »  Abbé Lemire, fondateur des jardins ouvriers dans le département du Nord.
  • Autour de l'eau

    La rivière Nonette

    La Nonette est une rivière de 40,2 km de long, elle prend sa source à Nanteuil-le-Haudouin, s’écoule de l’est vers l’ouest et se jette dans l’Oise à Gouvieux, à 30 m d’altitude après avoir traversé Senlis et Chantilly. Ses deux principaux affluents sont l’Aunette au nord et la Launette au sud qui dessert les étangs de l’abbaye de Chaalis. Dès le 10e siècle, le lit de la Nonette a été détourné, en particulier pour l’utilisation de la force hydraulique à des fins artisanales puis industrielles : minoteries, filatures, teintureries, ferronneries, scieries... mais aussi pour l’aménagement et la décoration des parcs et jardins des grands domaines qui bordent son cours : fontaines, canaux, jets d’eau, cascades, miroirs d’eau… sans parler des lavoirs qui agrémentent, aujourd’hui encore, les villages. La Nonette est aussi source de biodiversité. Les milieux humides qui la bordent, sols inondés ou saturés d’eau, sont de véritables filtres naturels et constituent un habitat très recherché par une multitude d’espèces animales et végétales.
  • Patrimoine

    Ancienne abbaye Saint-Vincent

    Cette abbaye est fondée en 1065 par la reine Anne de Kiev. En 1138, elle est rattachée à Saint-Victor de Paris. Devant la dérive des mœurs des moines, elle devient le lieu où débute la réforme des génovéfains, qui permet le retour à des règles monastiques plus sévères, en 1622. En 1791, l'abbaye est supprimée avec l'ensemble des établissements religieux de Senlis et, depuis 1837, elle abrite un lycée privé. L'église abbatiale date de 1138, et le grand et massif bâtiment conventuel autour du cloître, est édifié pendant les années 1660.
  • Histoire

    Une rue changeante

    La traversée rectiligne de Senlis a été créée par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Jean-Rodolphe Perronet pour faciliter le passage des malles postes. Son nom raconte l'histoire de France. Elle s'appelle rue Royale en 1753, de la République en 1794, Impériale en 1804, Neuve de Paris en 1814, de la République en 1879 et avenue du Maréchal Foch vers 1920 pour la partie au nord.  (D'après Jean-Marc POPINEAU, vice-président de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis)
  • Patrimoine

    Hôtel de Ville

    La commune a construit un premier hôtel de ville à la fin du 12ème siècle qui sera reconstruit en 1495 tel que nous l'avons sous les yeux. Sur la façade trône le buste d'Henri IV, en souvenir de la nuit qu'il passa à Senlis avant son couronnement à Paris.

  • Histoire

    Prieuré de Saint Nicolas d'Acy

    Ce prieuré a été fondé en 1098 par Robert Vidame de Senlis, baron de Survilliers, qui a l'autorisation d'établir sur sa terre d'Acy des religieux venus de Saint-Martin-des-Champs à Paris. Ce monastère dépend de celui de Saint-Martin-des-Champs et accueille neuf moines y compris le prieur.
    En ce lieu toute justice peut s’exercer; on rapporte des archives une des sentences contre des animaux pratiqués parfois pendant le moyen-âge. Le bailli de Saint-Nicolas condamna, le 27 mars 1567, une truie ayant le museau noir, à être pendue par l'exécuteur de la justice en un arbre sur le grand chemin allant de Saint-Firmin à Senlis pour avoir dévoré un enfant de quatre mois.
    Le dernier prieur, Don Bergeron, termina sa carrière par une protestation contre quelques religieux qui avaient envoyé à l'assemblée constituante un acte d'abandon de tous les biens de Saint-Nicolas, ce qui signa la fin du prieuré. L’église et les bâtiments ont été démolis. Il ne reste que la terrasse qui domine la Nonette, éloignant l’ancien monastère des inondations fréquentes de la rivière.

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