Mont-l’Évêque, un village lié à sa forêt
Description
Départ : Parking du cimetière le long de la D330 (direction Ermenonville).
- En partant du parking, traverser au niveau de l’église, passer devant sa porte et continuer tout droit. Prendre à gauche au niveau du portail du château, longer la rue et tourner à droite. Descendre vers le bas du village et traverser la rivière Nonette.
- À la sortie du village, prendre le chemin qui part à droite le long du mur. Longer le mur jusqu’au bout et continuer tout droit.
- En arrivant sur la route tourner à gauche, puis reprendre à gauche (en passant la barrière) le chemin qui repart dans les bois. Continuer tout droit.
- Arrivé à la barrière, prendre le 2e chemin à droite entre les numéros de parcelles 6 et 5. Au carrefour du poteau prendre le 2e chemin à gauche (direction Route du Chêne Pouilleux).
- Au carrefour suivant prendre la première à gauche entre les parcelles 5 et 2. Au prochain carrefour, continuer tout droit entre les numéros 3.
- Au carrefour, tourner sur le deuxième sentier à droite puis continuer sur le chemin à travers champs jusqu’à la petite route. Là tourner à gauche pour revenir vers Mont-l’Évêque. Éviter de faire cette randonnée en période de chasse de fin septembre à fin mars.
- Départ : Parking du cimetierre
- Arrivée : Parking du cimetierre
- Communes traversées : MONT-L'EVEQUE
Accès routiers et parkings
D 330 en venant de Senlis
Les 3 patrimoines à découvrir
- Histoire
Le village de Mont l’Évêque
À propos d’un évêque et d’une victoire.
Les fermes et maisonnettes s’étagent le long du coteau de la Nonette, de l'église du 13ème au lavoir récemment réhabilité.
Ainsi que le rappelle le nom de la commune, ces terres furent attribuées à l’évêque de Senlis en 1214. L’ancien rendez-vous de chasse royale fut alors transformé en château-fort puis en château troubadour au 19ème.
L’ancienne abbaye de la Victoire, toute proche, commémore le succès de la bataille de Bouvines qui donna 100 ans de paix à la France au 13e siècle. - Flore
La végétation des murs
Démonstration de l’adaptabilité du monde végétal : Les vieux murs que nous trouvons dans nos villages et campagnes accueillent souvent des plantes appartenant à la flore rupicole, c’est-à-dire vivant à l’origine sur les falaises et les rochers. Ces espèces végétales ont dû s’adapter à des conditions très particulières et souvent difficiles. Elles choisissent en fonction de leurs exigences les murs humides ou secs, calcaires ou non, fissurés ou non et toutes ne s’installent pas au même étage : la Grande Chélidoine choisit, le plus souvent, les bas de mur tandis que la Giroflée des murs s’installe sur les sommets de murs ou corniches…
- Patrimoine domestique
Lavoir de Mont l'Evêque
Les lavoirs couverts ont été construits par volonté d’introduire l’hygiène dans les pratiques domestiques. Les municipalités se préoccupaient peu d’hygiène avant la loi du 3 février 1851 par laquelle l’État ouvre un crédit extraordinaire pour encourager les communes à bâtir bains et lavoirs publics. Il s'agit de séparer les lieux où on recueille l'eau potable des lieux d'abreuvoir et de lavage.
Autrefois lieux de vie remplis des cancans de village, ils sont aujourd’hui des lieux paisibles où viennent souvent s’abreuver les animaux sauvages. « À cette époque on lavait 2 ou 3 fois par an. Dans l’immense bac on mettait une couche de cendre, une couche de linge et ainsi de suite puis on couvrait d’eau bouillante. C’était une ambiance extraordinaire… », témoignage d’une habitante de Luzarches en 1900.
Météo
Profil altimétrique
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