De dolmen en dolmen
Description
- Dos à la gare, traverser la place Général Leclerc pour prendre la rue de la République, contourner l’Eglise par sa gauche en empruntant le petit escalier, traverser le parvis et prendre le second escalier pour rejoindre et monter la rue Adalbert Baut.
- Continuer tout droit et aller à droite après l’entrée du cimetière pour prendre le chemin de l’Isle Adam. Continuer tout droit en suivant les marques jaunes.
- A l'angle de la clôture du golf prendre à droite entre bois et clôture pour aller découvrir, en allant tout droit, le dolmen de la Pierre Plate. Revenir sur vos pas. Emprunter le chemin qui part en face au milieu du champ. Puis continuer sur la piste en face. Au bout aller à droite et au stop prendre le chemin qui part complètement à gauche à travers champs. Au carrefour tourner à droite pour trouver le dolmen du Blanc Val. Poursuivre vers la route (D64E), descendre à gauche en marchant sur le côté gauche qui est plus large.
- Arrivé à la Ferme de La Cave, emprunter sur votre droite le chemin bitumé du milieu pour monter sur le plateau et découvrir la ferme médiévale du ValPendant. Revenir sur vos pas. Et prendre le chemin pavé en face qui passe sous le pont. Arrivé sur la route (D78), tourner à gauche en restant sur ce côté de la route plus adapté aux piétons. Traverser par le passage piéton sous le pont d’entrée de ville et emprunter la rue Danièle Casanova.
- Longer le mur et au stop aller à droite, rue de la Nappe. Au bout de la rue aller à gauche, rue Alexandre Prachay. Continuer jusqu’à la gare.
- Départ : Parking de la gare.
- Arrivée : Parking de la gare.
- Communes traversées : PRESLES et NERVILLE-LA-FORET
Transport
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Les 9 patrimoines à découvrir
- Patrimoine
Eglise saint Germain l'Auxerrois
La date de construction de l’église primitive demeure inconnue, mais le projet d’ajouter des éléments nouveaux date des années 1480. L’abside et le choeur sont édifiés au 15e siècle ; la voûte du grand chœur est rajoutée au 16e siècle. La façade principale datée de 1876 est édifiée par Léopold Hardy, architecte de la basilique du rosaire de Lourdes. Trois niches dont les consoles sont ornées de grotesques au Sud-Est, des frises animales au chevet et un tympan entouré de deux anges adorateurs, sculpté par Arsène Letellier, au portail ouest, décorent les façades de l'église.
Le clocher, puissante tour carrée, qui domine l’édifice, date du XIVème siècle et abrite encore une cloche, Nicolle, fondue en 1563.
Des restaurations ont lieu aux 19e et 20e siècles, notamment celle de la façade ouest grâce au don de Monsieur Potron, maire de Presles. - Patrimoine
Maison Hayaux du Tilly
La maison a été agrandie en 1903 à partir d'un noyaux central au milieu du 19ème siècle par l’architecte Dreux pour Louis Hayaux du Tilly. Cet homme, agent de change à Paris, est très influencé par ses nombreux voyages. Il la décore de sculptures en bois polychrome, provenant du pavillon indonésien de l’exposition universelle de 1900 (Porche, salle à manger…). Cette belle demeure est achetée par la congrégation des Dames de Saint Maur puis par la commune en 1999. Des travaux y ont lieu en 2005 avant l’ouverture en 2009 du centre culturel regroupant entre autre une médiathèque, un conservatoire de musique, des salles d'ateliers plastiques, etc. - Patrimoine
Château de Bellevue
Construit au XIXe siècle, i se trouve sur l'ancien emplacement d'un pavillon de chasse des Condé. Il appartient actuellement à plusieurs propriétaires, réunis en association qui y a aménagé un arboretum et un « accroche-branche ». Chaque année s'y déroule la grande fête du syndicat, Lutte Ouvrière. - Archéologie
La Pierre Plate
Située à l’orée de la forêt de l’Isle-Adam, à l’extrémité du plateau des Garennes, la Pierre Plate est l’allée couverte, de l’époque néolithique la plus complète de la commune. Connue dès le Moyen-Age, elle est fouillée en 1912-1913 puis en 1926. Classée monument historique en 1932, elle est restaurée en 1970-1971. Longue de 13 mètres, encore partiellement couverte de dalles de grès, ce monument est composé d’une antichambre et d’une chambre dallée ; la dalle d’entrée était percée d’un trou d’homme. Les fouilles ont mis à jour des ossements soigneusement rangés dont 78 crânes. Certains ossements portaient des traces d’interventions médicales dont d’anciennes trépanations. Parmi le mobilier, on peut citer de nombreux silex taillés, des éléments de parures, des outils en os ou des céramiques. L’antichambre contenait de nombreux os d’animaux. - Archéologie
Dolmen du Blanc Val
Cette allée couverte de la période néolithique, qui a perdu sa couverture, longue d’environ 6,5 mètres, fut découverte par un agriculteur en 1949. Composée comme la Pierre-Plate d’une chambre, d’une antichambre et d’un trou d’homme, elle contenait une vingtaine de corps. Les fouilles réalisées de manières sommaires ne permettent pas d’être complètement affirmatif quant au nombre d’individus inhumés. Seuls 14 crânes ont pu être étudiés. Des haches, des outils en silex, des pointes de flèches, des outils en os, des céramiques et des objets de parure furent mis à jour. Ces éléments sont aujourd’hui conservés à l’institut de paléontologie humaine à Paris. Cette allée couverte a été classée monument historique en 1951 et restaurée en 1956.
- Histoire
la Ferme de la Cave
Le hameau de la Cave, nait au 18e siècle lors de l’aménagement de la forêt de l’Isle-Adam par les princes de Bourbon–Conti. Une vaste place, d’où partent 6 routes en étoile dont la route de Paris, la route de l’Isle-Adam et le chemin du Valpendant. Deux auberges, ainsi qu’une maison particulière dite « la Maison du Charron » occupaient les lieux. L’Auberge du Lion d’Or construite à partir de 1786 devient ensuite la Ferme de la Cave et est aujourd’hui transformée en logements. L’Auberge de l'Ange Couronné fut détruite lors de la construction de la ligne de chemin de fer et remplacée par une maison bourgeoise « le Clos Marie-Bernadette ». Construits sous la monarchie de juillet, des bâtiments à usage agricole sont devenus par la suite un chenil abritant la meute du Prince Murat puis un centre équestre. Dans son roman "un début dans la vie" (1842), Honoré de Balzac, décrit ce hameau : « sur cette route, celle de l’Angleterre, il existe un chemin qui prend à un endroit assez bien nommé La Cave, vu sa topographie ». - Patrimoine
Vue sur la ferme fortifiée du Valpendant
Le Valpendant est un vestige du système défensif à la frontière du Comté de Beaumont, érigé sur la colline, à proximité de l’ancienne route de Paris (Route Royale N°1). Transformé dès l’ancien régime en exploitation agricole, on peut encore remarquer une puissante tour de défense, du 12ème siècle, quasi aveugle hormis quelques meurtrières et transformée par la suite en pigeonnier. Le logis principal, orné d’une tourelle a été fortement remanié au 16ème siècle comme l’attestent les fenêtres à meneaux de sa façade. Une ancienne grange du 13ème siècle conservait jusqu’à l’incendie de 1992, sa charpente médiévale. Les autres bâtiments, à vocation agricole datent du 19ème siècle. Le tout était entouré d’un fossé en partie comblé. Le Valpendant et son domaine fut donné par le roi Louis IX à l’abbaye de Royaumont en 1248, donation confirmée l’année suivante. Au 14ème siècle la famille de Chambly possède cette seigneurie. - Paysage
Le Parc du Château de Courcelles
Longé par l’ancienne route de Paris à Calais, route nationale N°1 jusqu’en 1956, le parc du Château du Courcelles, est aménagé au 19e siècle, par Louis Sulpice Varé (1803-1883). Paysagiste, il travailla pour les Bonaparte au château de Saint-Leu et à Mortefontaine. Son œuvre majeure et ultime reste l’aménagement du Bois de Boulogne. Le parc, d’une superficie de 23 hectares, est traversé de part en part par le Rû du Roy ou Ru de Presles, qui alimente 2 pièces d’eau. Orné de nombreuses fabriques, grottes et débarcadères, percé de 3 perspectives, ce jardin à l’anglaise succède à un ancien jardin à la française. La grille d’honneur, encadrée de deux pavillons d’entrée au toit à la Mansart, porte le monogramme EF, du nom d’Edouard Frottin, qui acheta le château en 1860 et qui est l’ancêtre des propriétaires actuels. - Patrimoine
Ancien hôtel de la gare
Ce bâtiment aurait été construit à la fin du 19è siècle (aux alentours de 1900), au cœur du quartier dit « Nouveau quartier de la Gare ». A proximité immédiate de la ligne de train inaugurée en 1876, l’hôtel accueillait les voyageurs faisant halte à Presles. Au début du 20e siècle, on peut y trouver : un restaurant à la carte, des chambres confortables, des écuries, des remises, un garage pour autos, une cure d’air, une pension, et des prix spéciaux en fonction des séjours. Aujourd'hui, il s'agit d'une maison appartenant à un particulier...
Météo
Profil altimétrique
Signaler un problème ou une erreur
Vous avez repéré une erreur sur cette page ou constaté un problème lors de votre randonnée, signalez-les nous ici :