Gouvieux, Par mont et par vaux chez les godviciens
Description
- Après s'être garé le long de l’avenue après la camping, prendre à droite le chemin de Trossy qui part le long des champs.
- Continuer tout droit (admirer l’église prieurale de Saint-Leu-d’Esserent sur l’autre rive de l’Oise).
- Au bout du chemin avant d’arriver à la route prendre la petite route à droite et monter. En haut de la côte continuer sur la route.
- Au carrefour au milieu des champs (aller tout droit pour une variante en aller et retour, + 2 km, pour découvrir les maisons troglodytiques). Pour continuer la boucle de randonnée, aller à droite (à gauche en revenant de la variante) et continuer jusqu’à l’allée des noyers pour la prendre en partant vers la gauche. Au bout aller à droite et longer le champ. Prendre la descente, traverser la petite route et en bas, arriver sur l’avenue de Toutevoie.
- Vers les étangs : aller à gauche puis à droite pour passer la passerelle sur la Nonette. Prendre à droite en sortant après la chicane en bois, aller jusqu'à la barrière en métal, et aller à gauche avant la barrière métallique
- Au bout du bois, prendre à droite pour rejoindre la parking et entamer le tour de l'étang de Toutevoie.....
- Arrivé au niveau des panneaux de jalonnement vélo prendre le chemin qui part à gauche à travers champ. Au niveau de l'Hotellerie Saint Hubert, aller à droite sur la route qui longe le bord de l’Oise et à droite pour rejoindre l’avenue de Toutevoie.
- Départ : Av. de Toutevoie Gouvieux
- Arrivée : Av. de Toutevoie Gouvieux
- Communes traversées : GOUVIEUX
Transport
Ligne H de Paris, en partant de Saint Leu d'Esserent.
Accès routiers et parkings
Av. de Toutevoie, Gouvieux 60
Stationnement :
Les 6 patrimoines à découvrir
- Géologie
Les carrières de calcaire
L’exploitation des carrières, déjà pratiquée du temps des romains, se poursuit au Moyen Âge pour la construction locale de maisons, châteaux et abbayes. Les pierres de Saint-Maximin et de Saint-Leu sont aussi envoyées par voie fluviale à Paris. Grâce au développement du chemin de fer, au 19ème siècle, l’exploitation des carrières de l’Oise s’intensifie pour alimenter les travaux d’urbanisme parisien du Second Empire (baron Haussmann). L’exploitation était le plus souvent souterraine via des puits ou des galeries creusées depuis les flancs de coteaux. Cette pierre est, encore aujourd’hui, utilisée pour la restauration de la plupart des monuments historiques de Paris.
- Archéologie
Le camp de César
Le camp de César, marqué par ce talus, est un ancien oppidum qui, comme ses voisins dominant l’Oise, surveillait la circulation dans la vallée. Il fut occupé par les Gaulois (peuple des Sulbanectes) qui aimaient s’installer dans ces camps en promontoire aux bords des plateaux. Ils y ont bâti des remparts sur 1 200 mètres. Ce camp est, sans doute, resté occupé pendant la période gallo-romaine. Sur ordre des Condés, dès le 17ème siècle, des fouilles y ont été réalisées, ce site était connu pour être l’endroit le plus riche en antiquités gallo-romaines de l’Oise. Les nombreuses monnaies, vaisselles, statuettes… trouvées sur place ont été rassemblées au château de Chantilly.
- Paysage
les étangs
Ces anciennes sablières, aujourd’hui transformées en étangs, voient se développer une faune et une flore spécifiques des milieux aquatiques. Faux roseau à plumeau, héron cendré, canards variés, ... sont les premiers occupants qui, si les conditions s’y prêtent, verront s’installer d’autres voisins comme des saules avec leurs chatons de fin d’hiver, le martin pécheur multicolore et de belles libellules diaphanes...
- Faune
Les batraciens
De nombreux amphibiens vivent dans ces étangs. Ils y naissent, grandissent et y retournent chaque année au printemps pour se reproduire. Le reste de l’année, la grande majorité d’entre eux vit sur terre dans les forêts, les berges des cours d’eau ou les jardins. La protection de ces amphibiens passe par la préservation de leurs habitats mais aussi des voies empruntées lors de leurs migrations. Depuis le début des années 2000, les associations locales et le Parc tentent, par diverses mesures, de limiter la mortalité routière des amphibiens. Dans les zones les plus empruntées, sont installés le long des routes soit des équipements pérennes, soit, de février à fin mars, des « barrages » mobiles. Dans ce cas, pendant près de deux mois, des bénévoles recueillent les animaux qui ne peuvent plus traverser et les relâchent de l’autre côté de la route.
- Paysage
Les étangs
Ces anciennes sablières, aujourd’hui transformées en étangs, voient se développer une faune et une flore spécifiques des milieux aquatiques. Faux roseau à plumeau, héron cendré, canards variés, ... sont les premiers occupants qui, si les conditions s’y prêtent, verront s’installer d’autres voisins comme des saules avec leurs chatons de fin d’hiver, le martin pécheur multicolore et de belles libellules diaphanes... - Paysage
L'Oise
Cette rivière prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude, et après 341 km, elle se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude. L'Oise est une rivière abondante et assez régulière, alimentée par des précipitations généralement modérées. Si le creux reste prononcé en août ou en période de canicule, les précipitations hivernales assurent des hautes eaux en janvier/février. Principal affluent de la Seine, après la Marne, l’Oise est une rivière canalisée depuis le 19e. Elle a alors permis de transporter, vers Paris, le charbon venant des mines du nord et la pierre extraite dans la région. Aujourd’hui, l’Oise est toujours un axe commercial fluvial important, notamment pour approvisionner les zones de logistique du nord de Paris. Le transport fluvial représente le transport de marchandise le moins cher et le moins polluant, puisqu’il consomme cinq fois moins de carburant que le transport routier et rejette cinq fois moins de CO2.
Météo
Profil altimétrique
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