En compagnie de la Reine Hortense
ASNIERES-SUR-OISE

En compagnie de la Reine Hortense

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Pour un bain d'histoire et de nature
De l'abbaye à la forêt, une balade au frais.

Description

  1. En sortant de l'abbaye, aller à droite puis prendre le chemin qui part en sous-bois derrière la barrière à gauche. Continuer jusqu’au hameau de Baillon.
  2. Là, partir à droite dans le village puis longer la rivière et prendre la passerelle qui la traverse. Continuer tout droit devant l’annexe de la mairie et au carrefour aller à gauche puis à droite. Rapidement prendre le chemin qui part en forêt derrière la barrière, entre les deux routes. Continuer tout droit jusqu’au poteau.
  3. Et là, prendre la piste qui part à droite. Aller tout droit et traverser la route au niveau du prochain poteau.
  4. Arrivé sur la piste caillouteuse après une barrière, aller à droite. En arrivant sur la route, partir à gauche en restant sur le côté gauche pour être à l’abri des voitures. Au niveau de l’arrêt de bus et du passage piéton, traverser Dangerpour prendre le vieux pont et retrouver l’abbaye.
  • Départ : Abbaye de Royaumont
  • Arrivée : Abbaye de Royaumont
  • Communes traversées : ASNIERES-SUR-OISE

Accès routiers et parkings

Dans le Val d'Oise, Asnières-sur-Oise, RD 909.

Stationnement :

Parking de l'abbaye

Les 6 patrimoines à découvrir

  • Patrimoine

    Abbaye de Royaumont

    Entourée d’étangs et de ruisseaux, l’abbaye royale de Royaumont fut édifiée au XIIIe siècle par Saint-Louis. Remarquable témoin de la prospérité cistercienne, elle recèle quelques trésors de l’architecture gothique. La visite du réfectoire au carrelage décoratif médiéval, du bâtiment des latrines traversé par un canal, de l’immense cloître, du jardin des simples et du potager moderne est absolument incontournable.
  • Histoire

    La reine Hortense, reine consort de Hollande

    Hortense de Beauharnais, belle-fille de Napoléon 1er et mère de Napoléon III, vécut quelques temps à Baillon. Son mari Louis Bonaparte, frère de Napoléon 1er, était propriétaire du château de Baillon et quand elle y résidait, elle faisait régulièrement la promenade jusqu'à l'abbaye.
  • Espace protégé

    Le marais de Baillon

    Outre leurs rôles essentiels de régulateurs des eaux de surface et d’épurateurs naturels, les marais sont des réservoirs de biodiversité. Ici, 215 espèces végétales se développent dont deux protégées en Ile-de-France : la cardamine impatiente et la zannichellie des marais et trois espèces très rares : la laîche à épis distants, le cynoglosse officinale et l’euphorbe des marais. On y trouve, aussi, des oiseaux rares pour la région, comme le Martin pêcheur d’Europe et trois espèces de libellules assez rares dont l’Orthétrum bleuissant.

  • Patrimoine domestique

    Lavoir de Baillon

    Les lavoirs couverts ont été construits par volonté d’introduire l’hygiène dans les pratiques domestiques. Les municipalités se préoccupaient peu d’hygiène avant la loi du 3 février 1851 par laquelle l’État ouvre un crédit extraordinaire pour encourager les communes à bâtir bains et lavoirs publics. Il s'agit de séparer les lieux où on recueille l'eau potable des lieux d'abreuvoir et de lavage. 
    Partout en France se sont alors construits ces lavoirs, lieu de rencontre et d'échange des femmes du village.
  • Histoire

    Une forêt dédiée à la vénerie

    A partir du 14e siècle, les propriétaires successifs du château de Chantilly marquent leur volonté d'accroître leur domaine afin de satisfaire leur passion pour la chasse à courre (cerfs, chevreuils…). Rattachée au domaine du château et dédiée à la vénerie, le domaine de Chantilly, dont le bois Bonnet fait partie, en porte partout la marque : par ses routes forestières rectilignes, ses carrefours en étoiles et par ses poteaux à ailettes, à la calligraphie originale, permettant de s’orienter. Ces aménagements ont été concus par André Le Nôtre à partir de 1669 sur demande du Prince de Condé.
  • Faune

    Crapauduc

    De nombreux amphibiens se reproduisent dans les étangs du secteur. Ils y naissent, grandissent et y retournent en grand nombre chaque année au printemps pour s'accoupler. Le reste de l’année, ils vivent sur terre dans les forêts, les berges des cours d’eau ou les jardins. La protection de ces amphibiens passe par la préservation de leurs habitats mais aussi des voies empruntées lors de leurs migrations. Depuis le début des années 2000, les associations locales et le Parc tentent, par diverses mesures, de limiter la mortalité routière des amphibiens. Dans les zones les plus empruntées, sont installés le long des routes, soit des équipements pérennes comme le long de la route vers Baillon, soit, de février à fin mars, des « barrages » mobiles. Dans ce cas, pendant près de deux mois, des bénévoles recueillent les animaux qui ne peuvent plus traverser et les relâchent de l’autre côté de la route. Des milliers de batraciens sont alors sauvés des voitures.

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